oui j’ai bien compris que la pièce dénonçait l’horreur du viol et les désastres engendrés par la domination du mâle(symbolisé par les bois de cerfs), j’ai aimé les scènes parodiques, pas du tout exagérées mais que dire des longues digressions tragiques sur les cadavres et les mouches, des interminables imprécations en italien sur un corps, des redondances dramatiques sur le viol au cas où le pauvre spectateur n’aurait pas compris, du rythme décousu qui empêche de rentrer dans l’histoire et impose une distance permanente, pas de bien hélas. Les monologues en anglais étaient drôles, si on comprend l’anglais, (...)