« J’appelle cheval …ce qui me hisse ! » L’apologie du cheval-vélo, synonyme de dépassement, vitesse, envol est un bijou de romantisme échevelé. Ajoutons quelques perles musicales très évocatrices : de la marche des chevaliers de Prokofiev aux Beatles. Saluons l’encadrement d’éclairages fort ludiques. Les costumes, dignes du Boulevard de la laideur habitable habillent des comédiens parfaits dans leurs rôles d’enfants débordants d’énergie et de cynisme. Dans un échange constant de personnages, Christine Delmotte a distribué la parole d’Amélie à 7 jeunes comédiens pétulants et explosifs, dont des hommes bien (...)