ROUGE DECANTE

Bruxelles | Théâtre | Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Dates
Du 5 au 7 octobre 2016
Horaires
Tableau des horaires
Théâtre National
boulevard Emile Jacqmain, 111 1000 Bruxelles
Contact
http://www.theatrenational.be
info@theatrenational.be
+32 2 203 41 55

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ROUGE DECANTE

Rouge décanté de Jeroen Brouwers est l’un des requiem les plus poignants de la littérature néerlandaise. L’auteur l’a écrit dans les semaines qui ont suivi le décès de sa mère. En 1943, Jeroen Brouwers, qui avait trois ans à l’époque, fut interné avec sa sœur, sa mère et sa grand-mère dans le camp pour femmes de Tjideng, dans l’actuelle Jakarta. L’auteur relate comment, lors du séjour dans le camp, ses rapports avec sa mère furent irrémédiablement brisés pour le reste de sa vie, et comment chacune de ses relations amoureuses succomba sous ce fardeau.
Rouge décanté est une prière, une invocation, un poème funéraire, une lettre d’adieu, un hymne, un anathème, un cri de désespoir, une complainte… Tout cela en un récit émouvant, dur et poétique.
Le spectacle mis en scène par Guy Cassiers et interprété par Dirk Roofthooft a été créé en 2004.
Joué en plusieurs langues (néerlandais, français, espagnol et anglais), Rouge décanté a fait le tour du monde et nous revient au Théâtre National pour notre plus grand bonheur.

« Un spectacle magnifique ! C’est l’une des rares mises en scène de théâtre dans lesquelles les images filmées n’illustrent pas, ne distraient pas, et ne font pas disparaître le comédien : au contraire, les images le renforcent et se fondent avec lui. » - El Pais
« Le théâtre peut parfois être hallucinant. Un trip, un rêve qui vous arrache de votre fauteuil au théâtre. C’est rare, mais Guy Cassiers et Dirk Roofthooft y sont arrivés dans Rouge décanté... Roofthooft est un comédien phénoménal… » - De Volkskrant

« …Immense Dirk Roofthooft à la présence profondément ancrée, calme et captivante, et qui simplement raconte, prenant le temps de déposer ses mots lestés de fatigue. Rien n’est joué, rien n’est illustré. Il n’y a que ces caméras vidéo vers lesquelles l’acteur choisit alternativement de se diriger et qui renvoient, sur les lames d’un mur de persiennes situé dans son dos, l’image d’un être morcelé. » - Libération

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