TARZAN - Le Rideau @ Poème 2

Théâtre | Le Rideau

Dates
Du 17 septembre au 5 octobre 2013
Horaires
Tableau des horaires

Contact
http://www.rideaudebruxelles.be
contact@rideaudebruxelles.be
+32 2 737 16 00

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TARZAN - Le Rideau @ Poème 2

Création

Texte : Thierry Lefèvre / MeS : Pascal Crochet
Avec Thierry Lefèvre

17.09 > 05.10

à 19h, les 17, 20, 24, 27/09 et 01 et 05/10 et à 21h, les 18, 21, 25, 28/09 et 02/10.

Réservations 02 737 16 01

Le Rideau @ Poème 2
Rue d’Ecosse 30, 1060 Bruxelles

www.rideaudebruxelles.be

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2 Messages

  • TARZAN - Le Rideau @ Poème 2

    Le 30 septembre 2013 à 06:52 par Domi

    Un très bon acteur, perdu dans son monde... Une mise en scène sobre et intéressante. Tout y est pour créer une atmosphère très spéciale. Pourtant, un bémol : le texte n’est pas toujours compréhensible et s’égare ça et là. Une volonté de l’acteur écrivain ? Peut-être. Mais pour le spectateur, c’est parfois difficile de ne pas lâcher le fil.

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  • TARZAN - Le Rideau @ Poème 2

    Le 1er octobre 2013 à 01:21 par Domi

    Mon avis précédent n’a pas été retenu et c’est dommage... car c’est un très beau spectacle ! J’ai beaucoup aimé le jeu de l’acteur, en homme solitaire perdu avec son passé et son histoire. J’ai beaucoup aimé la mise en scène très dépouillée... Par contre, il est vrai que je n’ai pas compris le texte... Peut-être justement parce que ce texte exprime la folie ? Je sais que je ne suis pas la seule à m’être posée des questions : cela a soulevé pas de mal de discussions au bar et peut-être, une fois encore, était-ce l’effet recherché ? Bref, un spectacle qui ne laisse en tout cas pas indifférent.

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Lundi 23 septembre 2013, par Samuël Bury

Il aurait pu s’appeler Robinson Crusoé

Avouons-le, Tarzan, c’est le bordel. Dans la tête d’un seul homme. Un seul en scène pour le reste parfaitement maîtrisé où l’impression de la folie se dégage de manière aigre-douce, où le temps n’a pas sa place, où l’espace ne prend place que par l’imagination et ses détours.

Thierry Lefèvre a couché un monologue très joli et a pris le parti de parler lui-même et seul ses mots. Le résultat est intriguant. On se retrouve devant un homme qui se raconte secrètement, qui déambule dans un paysage presque irréel où il est question de trains, de sang, de rêves et d’un interlocuteur absent. Tarzan paraît proche et aimable mais tout aussi lointain et intouchable. Il aurait pu s’appeler Robinson Crusoé. Mais sans doute la fiction aurait montré ses faiblesses et on l’aurait vite abandonné dans son îlot intérieur.

De son côté, Pascal Crochet a opté pour une mise en scène plutôt corporelle, pour marquer cette lutte intérieure, cette quête insoluble. Pour donner aussi, espérons-le, un soupçon de matière à une poésie parfois hermétique.

Bref, on ne ressort pas de Tarzan désorienté ou émerveillé. Le jeu est puissant mais le propos trop personnel.

Le Rideau