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Théâtre | Théâtre Le Public

Dates
Du 20 janvier au 3 mars 2012
Horaires
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Une plongée dans l’atelier et dans les réflexions d’un créateur génial et angoissé !Question : « En tant qu’artiste, peut-on accepter une commande très, très lucrative de toiles pour une clientèle new-yorkaise très chic et très snob, sachant que ces gens sont tout à fait insensibles à l’art ? » Le célébrissime peintre expressionniste abstrait Mark Rothko et son jeune assistant confrontent leurs sentiments et leurs valeurs : écorchés par la vie, ils s’affrontent, se rencontrent et rebondissent à l’infini sur le sens de l’art et de leur existence. Une déferlante de couleurs et d’idées dans laquelle les personnages sont ballotés et se démènent pour continuer à croire en l’Art et en la vie, encore et encore.Lauréate du Tony Award 2010 pour la meilleure pièce américaine, cette œuvre met en scène des dialogues puissants dans une langue magnifique pour un propos percutant !
Assistanat mise en scène : Julie Istasse
Scénographie et costumes : Dimitri Shumelinsky

Lumière : Laurent Kaye

Création musicale : Pascal Charpentier
Régisseur : Kévin Sage
Stagiaire régie : Simon Plume
Avec : Patrick Descamps et Itsik Elbaz.
Mise en scène : Michel Kacenelenbogen

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6 Messages

  • RED

    Le 25 janvier 2012 à 11:07 par Aurelia

    J’ai regardé cette pièce comme une oeuvre d’Art...On se laisse pénétré par les mots, les images qu’ils dessinent, touchée profondément, cette pièce m’a parlé..d’elle-même, sans chercher à comprendre si ses couleurs étaient belles..J’ai laissé agir la magie de l’Art..Deux acteurs formidables de par leur force tranquille et leur sincérité..Bam ! Droit au coeur..cette pièce peut parler à tout le monde de manière différente. Elle parle de l’Art de Vivre..Merci ! :-)

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  • RED

    Le 19 février 2012 à 10:49 par Sarleo

    Très bonne pièce, que l’on soit amateur d’art ou non, que l’on connaisse Rothko ou non... Les deux acteurs sont excellents et portent le public jusque à la fin. Le texte en lui-même est aussi une perle !

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  • RED

    Le 21 février 2012 à 11:57 par deashelle

    PATRICK DESCAMPS et ITSIK ELBAZ. Un déferlement d’énergie pure. Celle du rouge qui va du pavot à la coccinelle, en passant par la Ferrari, le sang séché et un baiser d’amour. Les deux comédiens en scène sont de véritables forces de la nature. L’une avouée, l’autre en devenir. L’un, bien qu’il s’en défende férocement : un père adoptif, grand frère, psy, professeur, rabbin, mentor et incorrigible misanthrope. L’autre : un orphelin, chien perdu sans collier, patient qui s’ignore, jeune assistant qui a tout de l’esclave, élève fiévreux d’apprendre, respectueux apprenti en brassage et épandage de couleurs sublimes.

    Le dernier coup porté est un coup de pied au derrière qui lance sur orbite l’élève devenu son bouillant adversaire, prêt à dévorer la vie, dans l’énergie créatrice. Tandis que le Rouge, lieu de toutes les pulsions vitales est lentement avalé par le Noir, la pire crainte du maître. Et le rideau tombe. Sur un spectacle démentiel, inoubliable et extraordinaire.

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  • RED

    Le 22 février 2012 à 05:10 par schoumaker

    Tres bonne réflexion sur l’art,mise en scène colorée ,dialogues vifs,un petit clin d’oeil au tableau de David,Marat assasiné

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  • RED

    Le 29 février 2012 à 10:58 par andre88

    Même si j’ai fortement apprécié certains passages et surtout le jeu des 2 comédiens, à la fin de la pièce, je n’étais pas "extasié" par le texte comme semblaient l’être tous les spectateurs autour de moi (commentaires élogieux). Néanmoins, bonne mise en scène + bonne interprétation = bon spectacle.

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  • RED

    Le 28 juin 2012 à 01:10 par pit111

    Un texte pas facile qui peut vite tourner à la masturbation intellectuelle ennuyeuse. Mais c’est sans compter sans le talent et la fougue des deux acteurs qui font de cette pièce une joute à couteaux tirés. Les deux personnages nous entrainent dans leurs réflexions du début à la fin avec la même passion. De même le décor sous forme d’atelier brut limite industriel renforce encore cette impression de lutte contre l’appat du gain, contre la critique, contre l’honnêteté artistique mais surtout et avant tout contre soi-même. Une des pièces magistrales de cette saison.

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