Au moins 15 ratages de texte, des jeux exagérés, une mise en scène ridicule, un texte mou et répétitif, un humour de bac à sable,...
Pendant une heure, on voit deux familles ne penser qu’à bouffer en énumérant des plats, des listes d’achat et des envies.
Les jeux sont alternés et figés avec l’intervention du boucher de la ville qui explique la pénurie de la viande.
Finalement après plus d’une heure de pièce où l’on mime des repas riches, l’action arrive enfin, les gens manquent de nourriture et commencent à changer de comportement, mais tout ça s’enchaine à la fin trop vite, la psychologie des personnages (...)