Andropause de et par Bruno Coppens

Andropause de et par Bruno Coppens

60 ans, ce n’est pas un gros mot !

J’aime être en peignoir dans un spa toute une journée, j’ai gardé ma ligne fixe et je ne prends plus le bus de peur qu’un jeune ne se lève pour me céder sa place. Suis-je déjà entré en Andropausie ?
Les femmes ont tellement de chance ! Leur ménopause est si démonstrative et nous, les hommes ? Rien ! N’étant pas andropologue, je viens sur scène raconter mon slalom d’homme, de l’enfance à l’obsolescence programmée.
La vie est un oignon et les années, ses pelures. Bruno se retrouve presque tout nu, la soixantième pelure s’apprêtant à s’envoler. Alors, comme tous les chemins mènent aux pauses, il vient ce soir devant vous sans vœux d’artifices, plus vrai que mature, dérouler l’écharpe du temps et vous raconter une vie jouant à pile ou farce !
« Fréquenter les spas, voilà un signe avant- coureur ! S’il y a bien un lieu qui prépare à la fin de vie, c’est le spa. Tu reçois un peignoir blanc comme en clinique, t’as des mules aux pieds, comme dans un home. De la musique d’ascenseur comme dans un crématorium... Et des bougies partout, comme pour tes funérailles ! »

Presse :
Ce nouveau seul en scène est très drôle, mais on y découvre un Bruno Coppens sans masque. Les inventions lexicales sont moins envahissantes que dans les spectacles précédents. A presque soixante ans, il a eu envie de se rapprocher du public, pour lui confier son parcours singulier. Myriam Leroy, « sa sparring partner d’écriture » l’a encouragé à révéler « l’homme avec ses fêlures, ses doutes, ses questions ».
(Demandez le programme

Distribution

Distribution :
De, par, malgré et avec Bruno Coppens ; avec la collaboration à l’écriture de Myriam Leroy ; mise en Scène Éric De Staercke et Papy (Alain Degois)